La recherche de la performance pousse souvent les entreprises à vouloir optimiser leurs process opérationnels en vue d’atteindre toujours de meilleurs résultats. Pourtant, il serait sans doute plus pertinent à long terme de réduire les contre-performances sur la durée plutôt que de vouloir battre des records de manière ponctuelle, comme nous l’explique Christian Mertz, associé du cabinet Argon and Co.
Christian Mertz : « Pour améliorer la performance opérationnelle, il existe deux grands axes. Le premier propose d’accroître les performances, en s’appuyant notamment sur les possibilités de la technologie. Pourquoi ? Cela aboutit souvent à des propositions hors-sol, pleines d’algorithmes et de variables abscons finalement déconnectées du vécu sur le terrain. Le second recherche les causes de la contre-performance. Cette approche, disruptive par rapport aux discours ambiants, apporte pourtant des résultats bien plus importants, de l’ordre de 10 à 30 % au lieu de 1 à 3 % ; et surtout bien plus pérennes. Cependant, bien trop d’entreprises recherchent encore la surperformance plutôt que des résultats moins spectaculaires mais plus réguliers. » […].
Pour lire l’article en entier, téléchargez le en pdf
Ou, pour en savoir plus, retrouvez l’article dans le cahier Partner « Solutions entreprises » sur le site du Figaro
Découvrir notre offre Performance et Excellence Opérationnelle