Pas simple quand on est Directeur Supply Chain ou Directeur Industriel d’évoluer entre:

  1. La créativité du marketing
  2. La propension des filiales à demander les produits au dernier moment ou au contraire à ne pas confirmer à court terme les prévisions, au gré de leurs démarches promotionnelles auprès de leurs clients
  3. La flexibilité et la réactivité limitées des usines et de leurs fournisseurs.

Ben oui, mais c’est la vie, si ça ne plaît pas il faut changer de job : piloter une supply chain, c’est de la conduite de rallye sur la neige et sous le brouillard. Être constamment en survirage et sous-virage car l’industrie a une certaine inertie, tout en négociant des virages serrés pour suivre la demande quelquefois sans visibilité, le tout sans jamais faire de sortie de route. Nous reprendrons cette image plus tard.

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