Pour Option Finance, Samuel Demont, en charge de la Digital Factory d’Argon & Co et Bertrand Allard, Partner, partagent leur vision sur les méthodes de prévision en période de crise.

Les méthodes traditionnelles de prévision, majoritairement basées sur des trends historiques, ne sont aujourd’hui plus adaptées. Selon l’adage «gérer, c’est prévoir», les dirigeants sont amenés à élaborer leur scénario de reprise en considérant des signaux faibles jusque-là non envisagés et en ajustant en permanence leurs prévisions.

Quelles sont les difficultés de prévision en temps de crise ?

Dans certaines entreprises, le reforecast est, depuis le début de la crise sanitaire, devenu le sport national du moment. Il est parfois même pratiqué de manière hebdomadaire. La raison est évidente. Chaque semaine a son lot de surprises. Au gré de l’évolution de la pandémie, des mauvaises ou moins mauvaises nouvelles tombent, selon les décisions gouvernementales, selon les comportements observés des consommateurs sur les marchés en phase de déconfinement et bien d’autres paramètres encore. Comment prévoir dans un tel contexte ?
Pourtant, le dirigeant est confronté à un grand nombre de décisions opérationnelles : activité partielle pour les uns, reprise d’activité pour les autres, production de telle gamme de produits soudainement plus fortement demandée qu’une autre, etc. Par ailleurs, même si les initiatives gouvernementales amortissent le choc en termes de cash et que beaucoup de sociétés
ont rapidement pris des mesures drastiques sur leur trésorerie, bien prévoir le cash, c’est garantir la pérennité de l’entreprise.

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Auteurs

Samuel Demont

Associate Partner

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Bertrand Allard

Partner

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